Jean 6.8-14

Semaine 6 - jour 2

Évangile selon Jean

Jean 6.8-14

20:49


Cela vaut la peine de le répéter : très peu entre les mains de Jésus devient beaucoup. Je veux que vous remarquiez qu’il y a deux perspectives dans la même mauvaise réponse. Philippe réfléchit à la situation et dit : « C'est impossible. Nous n'avons pas les ressources. » André, lui, voit les choses sous un autre angle et dit : « C'est impossible. Nous avons trop peu. Nous ne pouvons pas y arriver. »
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Notes de l'épisode

Bonjour, et bienvenue à Dieu au quotidien, notre série d’études méditatives sur l’évangile selon Jean ! Aujourd'hui, nous examinerons ensemble les versets 8 à 15 du sixième chapitre. Hier, nous avons commencé à examiner ce grand miracle de la multiplication des pains et nous en avons tiré la première leçon : la leçon de l’étalon. Est-ce que je mesure ma vie en fonction de mes capacités ou bien en fonction de la volonté de Dieu ? En fait, nous devons commencer par comprendre et accepter la volonté de Dieu. Si je mesure ma vie à l’aune de mes capacités, je n’essaierai jamais d’en faire plus, et probablement j’en ferai un peu moins. Mais si je mesure ma vie à la volonté de Dieu, à sa direction, j’aurai la force d’entreprendre de grandes choses pour lui, sachant que je ne pourrai pas les accomplir seul, mais avec la force qu’il me la donnera. C’est la leçon que j’ai appelée hier : la leçon de l’étalon. Aujourd’hui, nous allons examiner une autre leçon.

Je l’appelle la leçon de la balance. Nous commençons à apprendre cette leçon en lisant les versets huit et neuf du chapitre six de l’évangile selon Jean. Un autre disciple de Jésus, André, frère de Simon Pierre, intervient et dit : « Il y a ici un jeune garçon qui a cinq pains d'orge et deux poissons, mais qu'est-ce que cela pour tant de monde? »

La deuxième leçon que Jésus enseigne est celle de la balance, des poids et des mesures. Et c’est celle-ci : très peu entre les mains de Jésus devient beaucoup. Vous avez peut-être déjà entendu cela.

Cela vaut la peine de le répéter : très peu entre les mains de Jésus devient beaucoup. Je veux que vous remarquiez qu’il y a deux perspectives dans la même mauvaise réponse. Philippe réfléchit à la situation et dit : « C'est impossible. Nous n'avons pas les ressources. » André, lui, voit les choses sous un autre angle et dit : « C'est impossible. Nous avons trop peu. Nous ne pouvons pas y arriver. » En réalité, ce n'est pas parce qu'on considère un problème sous tous ses angles, le positif, le négatif, le plus et le moins, qu'on l'a compris. Philippe regardait la foule et non Jésus. André regardait les quelques pains et non le Seigneur.

Ils avaient toujours le même problème. Ils ne portaient pas leur regard vers le Seigneur. Le commentaire d'André est l'un de ces commentaires révélateurs de la Bible et je m'y reconnais tellement, car il va juste un peu trop loin dans son raisonnement. Il s'approche de Jésus et lui dit : ‘Jésus, voici un garçon avec cinq petits pains d'orge et deux poissons.’ Et s'il s'était arrêté là ? Cela aurait été l'un des plus grands moments héroïques de la foi dans la Bible. André aurait pu avoir suffisamment de foi pour croire que Jésus pouvait nourrir les 5 000 avec presque rien, mais au lieu de cela, il ajoute : « Mais qu’est-ce qu’on peut faire avec si peu pour tant de personnes ? » Il apporte les ressources, mais il dit à Jésus en même temps : ‘Même avec cela, c'est impossible de nourrir la foule.’

Parfois, nous abordons la foi de manière étrange. En tout cas, c’est mon cas. Je vois bien que Dieu peut faire quelque chose, mais d’un seul coup, j’ajoute qu’en fait il ne peut pas. Et puis, bien sûr, il ne le fera pas, parce que j’ai décidé qu'il ne pourrait rien faire avec ce que je lui apporte. Mais la seule chose qu'André a bien faite, la seule chose que je peux bien faire, malgré tous mes doutes, mes hauts et mes bas, c'est d'amener le garçon à Jésus. Si j'apporte mon problème, ma situation impossible, mes maigres ressources à Jésus, alors il pourra répondre à mon besoin.

Philippe a examiné la situation et a dit que cela demanderait trop d’argent, mais aucun besoin n'est trop grand pour Jésus. André a examiné la situation et a dit : « Nous avons trop peu », mais peu entre les mains de Jésus devient beaucoup. Et quand je regarde ma vie, quand vous regardez la vôtre, je vous encourage à vous demander : « Qu’est-ce qui me paraît trop grand pour que Dieu puisse l'accomplir dans ma vie ? » En fait, il n'y a rien de trop grand que Dieu ne puisse accomplir.

Ou bien demandez-vous : « Qu’est-ce qui me paraît trop petit pour que Dieu puisse l'utiliser ? » C'est ce qui nous touche beaucoup. On regarde souvent la vie en se disant : « Il n'y en a tout simplement pas assez. » On se dit : « Quand j'aurai plus », et on complète le vide : « Alors je le ferai », et on complète encore plus le vide : « Quand j'aurai plus de temps, je m'impliquerai dans le ministère. Quand j'aurai plus d'énergie, je pourrai vraiment jouer avec mes enfants. Quand j'aurai plus de soutien, je serai un meilleur mari et une meilleure épouse. Quand j'aurai plus d'argent, je donnerai vraiment au Seigneur. » J'ai un petit secret pour vous. Ce n'est probablement pas un secret du tout, et vous l'avez déjà découvert : Vous n'en aurez jamais assez !

Les besoins sont trop grands et nos ressources trop faibles. C'est pourquoi vous devez commencer avec ce que vous avez et lui faire confiance. Voilà qui est plus intéressant et plus productif.

Ce miracle accompli par Jésus nous montre le modèle biblique de la façon dont Dieu se sert de notre peu pour le transformer en beaucoup. C'est le même schéma dans l'Ancien Testament. Dans le livre des Juges, Gédéon vainquit les Madianites avec une groupe de seulement 300 hommes ; dans le premier livre de Samuel, David vainquit Goliath avec une simple fronde. Comment Dieu prend-il le peu que nous avons, et le multiplie-t-il pour qu’il devienne aussi productif qu’il l’a décidé ?

Eh bien, il y a quatre choses dans ce schéma. Premièrement, Dieu amplifie nos besoins, puis il réduit nos ressources, ensuite quelqu'un fait confiance à Dieu avec le peu qu'il a, et Dieu utilise ce peu pour révéler sa grandeur. Voici comment cela fonctionne.

D'abord, Dieu amplifie le besoin. Il me montre qu'il y a quelque chose ici que je ne peux pas accomplir par mes propres moyens. Il y a 5 000 personnes à nourrir.

C'est impossible. Parfois, on se leurre. Nous pensons que le besoin n'est pas aussi grand qu'il l'est, mais par la manière dont Dieu œuvre, il nous le montre.

Il l'amplifie. Il nous fait comprendre que ce que nous devons faire est impossible à réaliser avec la force humaine. Il commence par amplifier le besoin, sans le nier, mais en l'amplifiant, puis Dieu réduit nos ressources.

Juste un petit garçon, quelques pains, quelques poissons, ou avec Gédéon, il n'y avait que quelques personnes dans son armée. Dieu a réduit son armée à 300 hommes. Avec David, il n’y avait qu'une fronde. Et pourtant David s’est rendu compte qu'il ne pouvait pas porter l'armure de Saül. Il n'y avait aucun moyen humain pour vaincre le géant Goliath. Dieu réduit nos ressources afin que nous ne puissions pas commettre l'erreur de penser que ce que nous réalisons, nous le faisons par nos propres moyens et non les siens.

Et puis vient le moment crucial, le troisième élément de notre schéma : quelqu'un fait confiance à Dieu avec le peu qu'il possède. Dans ce cas précis, il s'agissait d'un petit garçon. Il a remis sans contester son déjeuner à Jésus. Avait-il conscience que Jésus allait en faire quelque chose ? Nous ne le savons pas, mais c’est grâce à lui, un petit garçon parmi une grande foule, qu’un signe miraculeux allait se produire.

Et puis, vient le quatrième élément de notre schéma : Dieu utilise le peu que nous avons pour montrer sa grandeur. Il ne dénigre pas ce que nous lui donnons en disant : ‘Je suis capable de faire moi-même quelque chose de bien plus grand sans les miettes que vous m’amenez !’ Jésus n'a pas dit au petit garçon : ‘Je vais jeter tes pains et tes poissons. Mais regarde ce que je peux faire.’ Non, il a pris le peu que le garçon lui a confié et l'a utilisé pour faire avec quelque chose de plus grand. Il l'a fait de telle manière que toute la foule sache que ce n'étaient pas les pains et les poissons du garçon qui pouvaient la nourrir, mais Jésus qui les multiplierait.

C'était Jésus. Mais il l'a aussi fait de telle manière que tout le monde savait que la confiance du garçon avec ces pains et ces poissons faisait toute la différence.

Cela me fait penser à un ami, Joël Sinagoga, qui est pasteur au Rwanda, où la population a très peu de moyens. Il m’a confié comment, avec peu, Dieu a agi dans son église, et comment sa communauté a appris à faire confiance à Dieu même en cas de manque de ressources. Au cours de l’existence de son église, il a vu de grandes choses se produire. Cela a appris aux fidèles à dépendre de Dieu et à avoir une foi audacieuse, à ne pas craindre d'affronter de grands problèmes. Je lui ai demandé comment, dans son pays, le Rwanda, où beaucoup de gens souffrent de la faim, comment les chrétiens peuvent appliquer le récit de la multiplication des pains à leur vie, de manière à leur donner la foi dans une situation où, quand on a faim, on n'a pas assez à manger. Il m’a répondu en me racontant une histoire. C’est celle d'un homme qui est venu dans son église et qui avait été chrétien auparavant, mais qui avait sombré dans le péché avec une jeune femme. Il a ensuite décidé de vivre avec elle, mais sans se marier. Ils étaient tous les deux domestiques dans des maisons différentes et ont été renvoyés par leurs patrons. Une de ces maisons était en construction, et l'homme en assurait la sécurité, car le propriétaire n'y vivait pas. Cette maison était sans vitres, sans volets, sans plancher, et le propriétaire a proposé au couple de les héberger. Ce couple a commencé à vivre dans cette maison et fréquentait l’église de mon ami pasteur, qui ignorait que la jeune femme était enceinte. Lorsqu’ils ont rejoint sa communauté, ce couple s’est confessé publiquement et s’est depuis engagé à suivre Jésus-Christ. Ce jeune homme et cette jeune femme se sont mariés et le bébé allait bientôt naître. Le mari n’avait plus de travail. Il n’avait aucune ressource, et tous les deux finirent par ne plus avoir de quoi se nourrir. Face à ce dilemme, le jeune homme est venu voir son pasteur qui lui a dit : ‘Je te donne une heure. Va prier et réfléchir, et reviens me dire ce que tu peux faire, et je t'aiderai.’ Le jeune homme est revenu plus tard et lui a dit : ‘Chez nous, à Kikari, et dans cette région comme au Kenya et en Ouganda, on trouve des chapatis - des galettes au froment sans levain - et des samoussas - une sorte de beignets. Et je sais les faire.’ Le pasteur lui a répondu : ‘Vas voir si tu peux trouver quelqu’un qui t’en achèterait, et reviens me voir demain si tu as trouvé un preneur.’ Le jeune homme est allé dans une épicerie qui était prête à prendre une commande quotidienne : 120 chapatis, 160 samoussas. Le pasteur lui a donc demandé de prendre un stylo et une feuille, et d’écrire la recette avec les quantités pour chaque ingrédient équivalentes à la commande. Ce qu’il a fait. Il a calculé les coûts, le prix de vente possible et les bénéfices qu’il pourrait en tirer. En fait, il pouvait gagner plus de 3 000 francs CFA par jour ! Il était en mesure de gagner sa vie par ses propres moyens. Il avait ce don, mais ne l’avait pas utilisé. Et parce que mon ami pasteur a été assez dur avec lui, il l’a éveillé à la réflexion et l’a encouragé à utiliser son talent. Il a donc commencé à vendre ses pains dans un magasin. Il a pu acheter un vélo. Au Rwanda, les vélos servent aux affaires, pas au sport. Ce vélo a un porte-bébé et trois grands paniers, pour approvisionner son client. Deux mois après le lancement de son entreprise, le propriétaire a terminé sa maison. Il a refait le sol, installé les volets et a pu accueillir le couple. Ils avaient déjà eu leur bébé. Parti de rien, le jeune homme était en mesure de louer une maison pour sa famille et a pu prospérer.

Dieu réduit nos ressources. Mais faisons-lui confiance avec le peu que nous avons. Je suis sûr que vous conviendrez que le moment crucial dans notre vie, c’est celui où nous décidons de faire confiance à Dieu. Nous lisons aux versets 10 et 11 de notre chapitre ce que Jésus va accomplir. « Jésus dit: ‘Faites asseoir ces gens.’ Il y avait beaucoup d'herbe à cet endroit. Ils s'assirent donc, au nombre d'environ 5000 hommes. Jésus prit les pains, remercia Dieu et les distribua [aux disciples, qui les donnèrent] à ceux qui étaient là; il leur distribua de même des poissons, autant qu'ils en voulurent. »

On imagine la réaction des disciples, leur surprise et leur émoi. Alors qu’ils passaient parmi les 5 000 hommes avec leurs femmes et leurs enfants, c’est-à-dire au moins 15 000 personnes, ils voyaient les pains et les poissons se multiplier entre leurs mains. Avant la distribution, Jésus a remercié son Père céleste. C’est en communion avec lui, par la prière et l’action de grâce, qu’il a multiplié les pains et les poissons. Tout cela s’est passé parce que Jésus l’avait déjà décidé alors que la foule accourait vers lui. Nous lisons ceci aux versets 12 et 13 : « Lorsqu'ils furent rassasiés, il dit à ses disciples: ‘Ramassez les morceaux qui restent, afin que rien ne se perde.’ Ils les ramassèrent donc et ils remplirent douze paniers avec les morceaux qui restaient des cinq pains d'orge après que tous eurent mangé. »

Au verset 7, nous voyons Philippe calculer la quantité nécessaire pour donner à chacun une bouchée. Et ici, chacun en a eu autant qu’il le voulait, et il restait douze paniers. La leçon des pains est si simple. On commence avec ce qu'on a. On le confie au Seigneur Jésus-Christ, puis on lui laisse faire le reste.

Certains se demandent pourquoi il restait douze paniers. Il y a plusieurs raisons possibles. Il y avait douze tribus d'Israël et Jésus enseignait ici comment il était venu apporter la promesse du Messie à tout Israël. Mais il y avait aussi, et je pense que c'est une chose importante qui s’est produite ce jour-là, il y avait douze leçons de choses à apprendre, une pour chacun des douze disciples : un panier pour chacun. Chacun d'eux, lorsqu'ils se rassemblaient, sortait avec un panier plein, douze paniers en tout. Rappelez-vous que ces disciples devaient parfois glaner dans les champs pour avoir de quoi manger. Ils n'avaient pas de travail lorsqu'ils suivaient Jésus. Ils dépendaient de ce qu'ils avaient gagné auparavant. Ce pain pouvait donc les nourrir pendant les jours suivants. Mais Jésus voulait aussi enseigner à ses disciples que, si Dieu est très généreux avec nous, il ne veut pas qu’on gaspille ce qu’il nous donne. Rien de ce qu’il nous donne ne doit se perdre. Jeter ce dont nous n’avons plus besoin, c’est dénigrer sa bonté. Utilisons donc tout ce que Dieu met à notre portée, et ne gaspillons pas ses bienfaits.

Aux versets 14 et 15, nous lisons ceci : « A la vue du signe miraculeux que Jésus avait fait, ces gens disaient: ‘Cet homme est vraiment le prophète qui doit venir dans le monde.’ Cependant Jésus, sachant qu'ils allaient venir l'enlever pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, tout seul. »

Il est intéressant de noter que les réactions du peuple montrent clairement qu'il s'agissait d'un véritable miracle. Certains affirment qu'il n'y a pas eu de miracle ce jour-là. Ce serait parce que le garçon a partagé son déjeuner et que Jésus a commencé à le partager avec d'autres, que la foule aurait alors partagé leur propre repas avec ceux qui les entouraient. Mais si c’était le cas, pourquoi la foule aurait-elle voulu établir Jésus comme roi ? Pourquoi l'ont-ils appelé un prophète ? C'est uniquement parce qu'un miracle s'est bel et bien produit ce jour-là. Mais la réaction du peuple nous montre aussi, et elle nous le montre clairement, combien il est facile de passer à côté des leçons d'un miracle.

Ces gens n'ont pas retenu la leçon. Ils voulaient que Jésus soit leur roi. Et leur idée du roi était celle d’un dirigeant politique qui améliorerait leur vie sur terre. Quelqu’un qui les débarrasserait de l’oppression romaine. Un roi politique qui améliorerait leur vie sur terre, mais pas un sauveur qui les libérerait et préparerait leur vie en communion avec Dieu pour l’éternité. Ils avaient une vision à court terme. Est-ce aussi notre attitude ? En fait, quand nous voyons Dieu accomplir de grandes choses, nous devrions nous attendre à ce qu'il en accomplisse de plus grandes encore. Dieu n’agit pas seulement pour répondre aux petits besoins.

Nous verrons ces prochains jours que les disciples de Jésus eux-mêmes n'ont pas retenu la leçon que Jésus voulait leur enseigner. Ils vivaient encore dans la peur. Ils faisaient toujours face à questions et à des luttes intérieures. Je voudrais donc que nous aussi nous comprenions la leçon, qui est celle-ci : Commencez avec ce que vous avez. Confiez tout à Jésus-Christ, et laissez lui faire le reste.

Parlons-lui maintenant. Et pendant que nous prions, je vous encourage à dire à Dieu les mots suivants : « Seigneur, aide-moi à te faire confiance avec le peu que j’ai, le peu que tu m’as donné. Aide-moi à le remettre entre tes mains pour que tu puisse le multiplier dans ton infinie générosité. Parfois, j’ai si peur de ne pas avoir assez que je veux garder le peu que j’ai pour moi. Oh, Seigneur, aide-moi à vraiment te faire confiance avec ce que j'ai. Qu’au lieu de me plaindre de ce qu’il me manque, donne-moi la sagesse de reconnaître ce que tu veux que je fasse avec les ressources que tu m’as données et te laisser les multiplier. Permets aussi Seigneur, que je ne gaspille pas ce j’ai, mais que je sois généreux avec les autres, comme tu l’as été avec moi. C’est en ton nom que je te demande tout cela, amen. »

Demain, nous réfléchirons ensemble à ce que Jésus a enseigné à ses disciples aux versets 15 à 21 du chapitre 6 de l’évangile selon Jean.